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  • Photo du rédacteurDelphine Lugol

DYNHOM le prouve: le remède homéopathique porte une information spécifique, et agit épigénétiquement

Dernière mise à jour : 29 sept. 2019


http://www.homeopathie-unio.be/research/36/200/DynHom

https://vimeo.com/206799977




D'après la deuxième partie de la conférence du professeur Marc Henry à laquelle j'ai eu la chance d'assister au 30ème congrès du CHL le 16/03/19.

Marc Henry est professeur des Universités et directeur de recherches en chimie, science des matériaux et physique quantique, ainsi que philosophe et épistémologue. Il mène indépendamment de sa carrière universitaire des recherches sur l'eau et l'émergence du phénomène de conscience en relation avec la physique quantique. L'association Natur'Eau Quant qu'il préside a pour objet de promouvoir une approche quantique(*) de la nature utilisant l'eau comme vecteur d'information.


Le projet DYNHOM: une étude Belge d'envergure indépendante puisque financée unique ment par des associations de patients. Elle implique depuis près de 3 ans des chercheurs et techniciens de haute volée, dont notre orateur. Des moyens scientifiques de pointe sont utilisés (**). Elle porte sur l'information véhiculée par des remèdes homéopathiques fabriqués artisanalement, dilution par dilution, de Cuprum et Gelsenium, ainsi que des mêmes remèdes fabriqués il y a 30 ans et bien conservés. On étudie le rôle du récipient, de l'excipient, du type de dilution (Hahnemannienne et Korsakovienne) etc…


Voici quelques uns des résultats, nous verrons dans un prochain article comment la théorie physique des domaines de cohérence et la théorie quantique des champs peut nous aider à les interpréter.

- Contre toute attente, il y a toujours de la matière dans un substrat homéopathique dilué au-delà du nombre d'Avogadro, de l'ordre du microgramme (c'est déjà beaucoup: les hormones par exemple fonctionnent au nanogramme).

-Grâce aux rayons X on connait les composants atomiques de cette matière: elle n'est pas issue de la substance de départ. Ce sont des ingrédients venant de l'AIR et du RECIPIENT, sous forme de nanoparticules. Elles sont différentes pour chaque dilution. On verra dans un prochain article l'importance de cette matière, qui provient de la succussion (on agite fortement = dynamisation) qui a lieu à chaque étape de la fabrication d'un remède.

- En Résonance Magnétique Nucléaire où l'on mesure les spin des atomes on voit que l'eau informée (= diluée et dynamisée) s'est organisée différemment : en plus des nanoparticules citées ci-dessus, le solvant est influencé par la dilution et la dynamisation.

- Par Effet Kirlian, qui produit une image du champ électrique entourant un conducteur, on obtient une photo du champ autour d'un corps: ce champ présente une structure différente selon le remède et la dilution.

- Mesure de la fréquence spatiale (inverse de la longueur d'onde) que dégagent l'eau pure, la teinture mère et les différentes dilutions des deux remèdes: des résultats différents pour chacun des remèdes et chacune des dilutions sont obtenus.

- Les émissions de lumière de chacun de ces corps sont étudiées: toutes spécifiques également.

- Grâce à l'utilisation de puces à ADN on a pu observer que ces différentes dilutions agissent au niveau épigénétique, c'est à dire en induisant l'expression ou la répression de certains gènes!!!

-Les remèdes fabriqués il y a 30 ans donnent des réponses encore plus claires à ces tests que leurs équivalents récents.

- Excipients: l'eau, mais aussi la glycérine, de l'alcool, les granules de sucre (lactose ou saccharose) sont aptes à mémoriser la structure électromagnétique d'une substance.


CONCLUSION:

Il est donc prouvé que des informations spécifiques sont mémorisées, conservées dans le temps et actives au niveau génétique.




(*): Le mot quantique qui qualifie cette partie de la physique vient de "quantum". Le quantum n'est pas nécessairement une particule élémentaire comme on le croit souvent, mais définit une chose qui à une échelle donnée se comporte comme un tout, bien que formée d'entités séparées plus petites. Ainsi, un atome peut être considéré comme un quantum, mais aussi une molécule , une organisme, une murmuration d'étourneaux…


(**): spectrométrie de masse SP-ICP-MS, microscopie électronique à transmission TEM, diffusion de la lumière DLS, potentiel dzeta ZP, analyse du suivi individuel de nanoparticules NTA, microscopie électronique à balayage avec analyse dispersive en énergie SEM/EDX.

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